mercredi 3 octobre 2007

Britney'awards...

Hey Britney !!

Bon moi j’suis un fan inconditionnel de Britney Spears. Vous me direz, ce n’est pas difficile. Et bien pourtant, il y a des personnes qui la déteste, se foutent de sa gueule ou la trouve carrément moche. Moi je suis fan et je le revendique. Bon d’abord, Britney, c’est une carrière incroyable. Ses débuts, comme tout bon plouc américain, c’est au mickey show parade qu’elle se lance. Elle est tellement mimi dans son petit style Arkansas-mon-père-habite-dans-un-mobile-home. En 1981 année de sa naissance, en décembre (comme quoi ce mois est vraiment loin d’être un cadeau), Brit’ est déjà une star. Elle a pas un poil sur le caillou (une mode qu’elle reprendra plus tard) et sa mère lui souffle déjà son premier tube, « Born To Make You Happy ». L’histoire raconte qu’elle savait déjà crier comme elle le fait aujourd’hui, avec un bon accent du Midwest gavé aux hormones.

Et puis elle est tellement sexy. lors de son premier tube, elle me met en transe dans son p’tit uniforme de pétasse bon chic-bon-genre. Elle est toute l’image de l’Amérique moyenne, engoncée entre le prom’ et les joueurs de foot’, puritaine jusque dans la masturbation. On sent qu’elle passe son temps avec Kimberley et Stacey au centre commercial (down-town) entre KFC et Ben&Jerry’s. Le rôle de sa mère est dominant dans sa carrière naissante et poussé à l’extrême, on pourrait croire que la petite se transforme en gagne-pain. Mais il n’en est rien, Lynne (c’est son p’tit nom) la suivra jusqu'à l’envoie de sa progéniture en cure de désintox’.

Britney enchaine alors les tubes tous plus mielleux les uns que les autres, du genre « me-touche-pas-j’suis-vierge » mais « lève-ma-jupe-quand-même ». Du coup c’est des dollars, du star-système et des paillettes dans le soutif 85 A. Pour cela, c’est bien joué. Gagner du fric à prendre les gens pour des navets, c’est une belle victoire sur l’humanité. En tout cas tout roule pour miss Alabama et même Mr Timberlake (« timber », ça me rappel une devise de caribou ça… faites le reste de la traduction !) tombe dans ses jupons. Ils ont fait ensemble le récréA2 made in USA, c’est vrai, mais pas question qu’il la perfore. En effet, l’aspect virginal de la chanteuse est le gode angulaire de sa notoriété (très japonais en fait !) Ainsi le petit ami frustré est payé grassement chaque mois pour enlever ses paluches du bonnet de la diva, qui grossit (le bonnet) à vue d’œil. C’est l’effet proportionnel Dollars/tour de poitrine. Jusqu’au jour ou, les hormones étant trop forte, Justin se tire un peu vénère pour une autre. « Ils ont cassés » criera Ok ! Podium.

Mais le reste est encore plus croustillant. Il est vrai que Britney n’est pas vraiment une lumière mais au moins elle gagne des millions par an. Ce qui relance la polémique philosophique du « plus t’es doué, moins tu gagnes ». Et moi j’adore ça, n’étant pas très doué. Enfin bref, elle commence donc à enchainer le syndrome féminin du yoyo, roule des galoches à Madonna, se marie pendant 55 heures et se fait mettre en cloque par un ex-taulard total junkie ! Je pense que si je la présentais à mes parents, ils seraient fous de joie.

Le must, c’est quand même son come-back. Je tacherais de vous récupérer la vidéo, c’est de l’anthologie. En bref, voila pourquoi je suis en adoration devant cette pute élevée aux grains : Pas de talent, pas de cerveau, pas de dignité, américaine profonde, grosse, un goût de chiotte pour les fringues, un tableau de chasse digne des meilleures souteneuses lituaniennes, drogues, déchet, mais avec un compte en banque hyper-garnis. C’est ça la classe Arkansas.

PS : Désolé pour les vrais Fan !

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