jeudi 27 décembre 2007

The New French upper class

La France et sa politique. J’adore. C’est un peu un sujet qui n’a pas évolué depuis l’ancien régime. En gros, il y a les pas-contents et les jamais-contents. La France est un pays de mouton, ça nous le savons. Seul 8% de la population détient un savoir suffisant pour contrôler les 92% des autres complètements illettrés. Dans ces 8%, on retrouve ceux au pouvoir et ceux qui le voudrait à tout prix (6%) et la direction des syndicats et association loi dérivé 1901 (1%). Le 1% restant représente l’interventionnisme étranger.



C’est comme sous notre bonne vieille monarchie d’antan. La noblesse de robe qui fout rien, la noblesse d’épée qui se tue à la tâche, la bourgeoisie qui rêve de pouvoir (corporation et élite, les syndicats d’alors) comme le clergé parisien (ou versaillais). Le bon vieux clergé de campagne, logé à la même enseigne que le tiers-état qui se font royalement plumer et enfler par ceux qui les utilisent pour le pouvoir.

Ça c’était vers la fin du 18ème. On en est au 21ème. Ce qui est navrant c’est que la France n’a toujours pas évoluée. Quand je parle de la France, je parle de cette plèbe abrutie et vociférant, de ces 92% de honte et de cheveux teint en rouge chez Gisèle top’ coiffure au fin fond du Poitoux. Cette France qui n’a rien d’autre à foutre que de jalouser ce que son frère a, de rayer la nouvelle voiture de son voisin par principe, de détester l’argent et surtout ceux qui se sont tué à l’avoir, de croire que tout est un droit et que rien ne doit remettre en cause « son » gain et qui ne paye pas ses impôts de surcroît. Cette France, plouc de l’Europe entière et certainement du monde, qui a perdu en 40 ans ce qu’une histoire de plus de 2000ans à construit patiemment. Ce cadeau formidable qui fit de la France le pays de la délicatesse, lumière du monde.

Alors aujourd’hui on critique et on ne sait faire que cela. Je ne suis pas fondamentalement Kozy’s fan mais c’est assez affligeant de voire que les seules critiques qui fusent sur notre chef d’état est son train de vie et ses amourettes.

Qu’est ce qu’on en a à foutre de savoir qu’il prend des vacances sur le nil, qu’il couche avec Carla et qu’un de ses potes lui refile son jet privé ? Est ce que l’on se formalise lorsqu’un de vos amis vous prête sa R-19 pour aller faire ses courses au leclerc du coin ? Vous fait-on un procès parce que vous sortez avec Josiane la fille de la bouchère alors que vous tringliez la semaine précédente la fillette du boulanger ?

Et cette gauche, toujours plus caviar, qui ne fait qu’utiliser ce genre d’invective plutôt que de se reconstruire. A l’image des critiques acerbes à l’assemblée nationale contre Kouchner formulées par un Montebourg qui ferait mieux de retourner au lycée au vu de ses résultats déplorables en terme de répartie et son cerveau qui ne semble pas dépasser la taille d’une noix. Je me fous du parti politique, je me fous du personnage, pourvu que la France redevienne la lumière du monde et respecte les humains. Je hais ces syndicats qui se foutent de notre gueule et ne pense qu’à s’enrichir. Cette nouvelle aristocratie des pouilleux, cette aristocratie rouge qui ne se souvient pas que le communisme est mort après avoir assassiné 30 millions de personnes. Ces syndicats qui sont la honte de notre nation.

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