vendredi 21 décembre 2007

Taking about a revolution...

Comme une synthèse. Une force suprême, une entité si supérieure que l’on ose à peine la nommer. Elle produit en nous le doute, il y aurait alors une destiné, un chemin déjà tracé, des épreuves à l’avance imaginées et une fin programmée. Elle divise le monde sur son idéal, sa valeur et son simple nom. Est-ce la plus grande farce de ces 300 siècles d’existence humaine ou une évidence à laquelle nous sommes soumis ?


La soumission, un terme si peu humain. Comme un adolescent, donnez des interdis à l’humain et voyez à quel point il enjambe allègrement les barrières, pour son plaisir, pour sa satisfaction ou sa curiosité. Notre pomme tombée de l’arbre ne serait-elle en fait que ce péché humain d’aller voir au-delà, par méconnaissance ?


Finalement, le but ultime de ces entités n’est simplement que de faire le bien autour de soi. Enfin c’est ce qui est écrit dans tous les best-sellers que chacune à publié depuis Gutenberg. Si on enlève les passages écris (voir réécris) par les humains pour des raisons d’intérêt, d’argent, de propriété, de pouvoir, d’obscurantisme, d’égoïsme, de haine et de jalousie, le nouveau testament pourrait se résumer en une ligne, comme le coran et comme la torah.

Une simple phrase que le monde connaît par cœur, que chacun à prononcé au moins un millier de fois dans sa vie et que chaque maman du monde distille chaque matin à ses enfants avant l’école. Soit Bon.

Moi ça ne m’arrange pas trop cette phrase. J’aurais préféré « soit bon mais si tu trouves un straddle avec un bon vieux Delta/Vega te gênes pas » !

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